12 novembre 2008
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Après la Grande guerre, la fonte d'ornement n'est plus à la mode : le Val d'Osne
connaît une dernière grande activité avec la production de monuments aux morts : un catalogue spécial est édité en 1921. Mais ensuite, la fonderie évoluera de plus en plus vers de la production
industrielle, même si elle continue à proposer des statues, des fontaines. Après des mutations successives,elle disparaîtra en se fondant au sein de la Société Générale de Fonderie, puis de la
GHM.(source wikipedia.org)
8 octobre 2008
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Le canal Saint-Martin est un canal de 4,55 km de long situé entièrement dans les
10e et 11e arrondissements de Paris. Il relie le bassin de la Villette — et au-delà le canal de l'Ourcq — au bassin de l'Arsenal (le port de plaisance de Paris) qui communique avec la Seine.
C'est un canal de petit gabarit dédié à l'origine à l'adduction d'eau potable dans la capitale. Inauguré en 1825, il comporte neuf écluses et deux ponts tournants pour une dénivellation totale de
25 m.
Avec le Canal de l'Ourcq, le Bassin de la Villette et le Canal Saint-Denis, il constitue le réseau des canaux parisiens, long de 130 km, qui appartient à la Ville de Paris. (wikipedia.org)
7 octobre 2008
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Cet hôtel parisien, situé au bord du canal St Martin, a inspiré en 1938 le
cinéaste Marcel Carné pour le film à qui il a donné son titre, avec Arletty et Louis Jouvet, et dans lequel on entendit la célèbre réplique :
"atmosphère..atmosphère ? est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère
?"
L'histoire ? Un hôtel modeste au bord du canal Saint-Martin abrite une
clientèle bigarrée. Pierre et Renée, un couple d'amoureux, décident d'en finir avec la vie. Ce qui va s'avérer plus difficile que prévu. Un autre couple, M. Edmond, mystérieux homme, et Raymonde,
une prostituée, vont se mêler à l'histoire des amoureux désespérés.
5 octobre 2008
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Entre colombages et pierres taillées, colonnettes et pinacles sculptés,
pavés granit et pavés calcaire, petites ruelles et successions de placettes, tours léchées par les méandres du Serein, Noyers la médiévale porte bien son titre "d'un des plus beaux
villages de France "
Que ce soit de jour ou de nuit, en empruntant la voie principale
du bourg, on pourrait, avec très peu d' imagination, voir évoluer chevaliers, manants, clercs ou bourgeois et on ne serait pas étonné de voir à l'angle de deux rues la figure joviale d'un
bourguignon d'antan ou d'entendre s'échapper le chant d'un ménestrel d'une des seize tours qui longent les remparts. (noyers-sur-serein.com)
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Pendant les guerres de Religion, Noyers devient un grand lieu de
résistance. La forteresse est alors démantelée sous l'ordre d'Henri IV. Il ne reste plus aujourd'hui que quelques ruines du château féodal. A partir du XIème siècle, la puissante et longue lignée
de la famille Miles règne sur le village. Situé sur la route commerçante de Champagne, du Lyonnais et d'Ile-de-France, Noyers-sur-Serein prospère et s'enrichit de belles demeures de vignerons et
de notables.
Tout autour des fortifications, une promenade permet de découvrir le village dans son environnement naturel. Trois portes
donnent accès au centre. De la porte Peinte (au Sud) jusqu'à la porte Vérote (au Nord), se forme toute une procession de demeures seigneuriales, hôtels particuliers de
style Renaissance et maisons à pans
de bois du XIIIème au XVème siècle. Au fil de ses
rues pavées et de ses petites places, le village dévoile
ses trésors. La maison de justice du XVème siècle expose ses fenêtres à meneaux ouvrant sur une grande salle d'audience. Au centre du village, le visiteur attarde son regard sur les nombreuses maisons à encorbellement, la maison de la toison d'or,
l'église Notre-Dame et sa tour à gargouilles. Ici, les colombages profitent de la compagnie d'élégantes sculptures, ce qui leur confère un charme sans pareil.(linternaute.com)
2 octobre 2008
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Cette source vauclusienne, au débit varié mais perpétuel, a beaucoup
intrigué nos ancêtres qui la qualifiaient de "divine" (fons divona d'où Dionne). La tradition prétendait que le bassin était sans fond. Telle légende en faisait une entrée de l'enfer, telle autre
affirmait qu'un serpent au regard meurtrier (le basilic) y faisait son séjour avant que l'évêque Saint Jean de Réôme n'en débarrassât l'endroit.
C'est probablement à l'endroit de la vallée où se réunirent les premiers
habitants, attirés par ces eaux vives et pérennes dans une région de plateaux calcaires et secs. A l'époque gallo-romaine, la Fosse Dionne servait à l'alimentation en eau des habitants de
l'oppidum de Tornodurum, situé sur le plateau qui la surplombe. Une série d'escaliers, dont il reste quelques vestiges, en témoigne. C'est en 1758 que Louis D'Eon fit aménager la source en
lavoir, avec sa toiture semi-circulaire et sa double enceinte, elle prit l'aspect actuel afin de la rendre plus accessible.
La Fosse Dionne devint ainsi le quartier général des lavandières tonnerroises.
Armées de leurs battoirs, agenouillées dans une caisse garnie de paille, elles travaillaient de midi à la tombée de la nuit, étendaient leur linge sur les poutres de la charpente pour un salaire
qui, en 1920, n'excédait pas 3Frs de l'heure. En mai 1908, il fut installé des madriers servant d'égouttoir et de petites cheminées aménagées dans le mur, permettant de "cuire" la lessive. C'est
contre leur conduit que des garnements collaient l'oreille afin de recueillir les potins truculents des laveuses.
Résultat d'un circuit complexe d'exurgences et de résurgences, cette source forme
en fait une vasque au fond de laquelle on peut voir le départ d'une galerie haute de 2,5m qui s'arrête à 28m de profondeur sur un étranglement. Après quoi la galerie se poursuit jusqu'à 360m de
l'entrée et 61m de profondeur. C'est une des sources de France les plus difficiles à explorer en raison de ses étroitures, des tourbillons d'argile, de la force du courant et de sa
profondeur.
Située à 140m d'altitude, la Fosse Dionne excite depuis longtemps la curiosité
(plusieurs plongeurs y ont perdu la vie), on s'interroge sur la provenance de cette eau qui sort avec tant d'abondance, surtout en hiver. Le débit moyen annuel est de 242 litres par seconde, mais
la source est capable de crues violentes. L'eau est issue d'un impluvium de 43Km² au sud de la ville, stockée dans les multiples failles du calcaire, ce qui explique son débit continu. Une partie
de l'eau provient également de la perte de la Laigne (près de Châtillon sur Seine) par un parcours souterrain encore inconnu de plus de 40Km à vol d'oiseau. La Fosse Dionne est ainsi la deuxième
percée hydrogéologique de France, après la fontaine de Vaucluse. Les tests de coloration qui ont été effectués le prouvent.
http://www.ipoint.fr/cschmidt/tonnerre/fossedio.htm
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"Seule sur sa presqu'île, la petite église de Champaubert ne se découvre qu'à pied ou à
vélo. Vestige du village de Champaubert, elle veille sur le lac, sereine, depuis qu'elle a vu les dernières maisons de son village ensevelies". (l'Est Eclair 05 août 2008)
28 septembre 2008
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L'église de Couvonges est dédiée à St Brice, et présente des éléments des 12ème
au 16ème siècles. Sa situation en hauteur, un peu à l'écart du village, met son architecture en valeur. Le chœur est terminé par un chevet plat ; il semble dater, comme la tour à la croisée
du transept et la nef, du 12ème siècle roman. Cette tour est coiffée d'une toiture en bâtière. Deux chapelles furent construites ensuite pour constituer un "faux transept" ; elles présentent
des fresques
Un porche a été ajouté aux 15ème et 16ème siècles, pourvu d'une toiture de tuiles reposant sur des colonnes, et
de banquettes de pierre sur son pourtour : comme ailleurs dans le secteur, il servait aux assemblées villageoises au sortir de la messe le dimanche. (lien wikipedia)
28 septembre 2008
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Petit panoramique de la ville haute en cette belle journée d'automne, spécialement
pour Anne-Marie
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Giffaumont-Champaubert se trouve sur le bord du lac du
Der-Chantecoq.
Ce lac, grand de 4800 hectares, possède ses bases de loisirs nautique, ses
plages, et est également un endroit apprécié des pêcheurs mais aussi et surtout des ornithologues puisqu'il accueille une grande diversité d'espèces d'oiseaux et notamment une espèce qui fait la
réputation de la région : la "grue cendrée".
22 septembre 2008
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Viviers sur Artaut est une petite commune auboise faisant partie du vignoble de la Côte des Bar, d'appellation
Champagne, où apparemment les vendanges n'avaient pas encore commencé hier